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 Petites histoires et autres joyeusetés

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jeannot

jeannot


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MessageSujet: Petites histoires et autres joyeusetés    Petites histoires et autres joyeusetés  Icon_minitimeMer 19 Juin - 22:09

"Dans un lointain passé, en un age primitif où nos terres étaient bien plus inhospitalières qu'aujourd'hui et où notre empire n'était rien de plus qu'une vision dans les rêves d'un homme sage, un loup rejeta la tête en arrière, laissant jaillir de sa gorge farouche un long hurlement qui glaça le cœur de tous ceux qui l'entendirent. Ce cris résonna parmi les arbres, à travers les vallées et par-dessus les collines et les bruyères des landes; les étoiles frémirent et l'air frissonna sur son passage. Les hommes murmurèrent une prière aux anciens dieux, mais ceux-ci firent la sourde oreille et la meute des loup, se rapprocha alors que la mort galopait à leurs cotés.

Le grand loup s'avança à pas feutrés jusqu'à l’extrême rebord de la falaise pour observer les terres qui se déroulaient devant lui. Non loin derrière, ses congénères rodaient dans l'ombre, avec leur langue rouge dégoulinant de bave, pendante entre leurs crocs luisant et leurs souffle qui fumait dans l'air de la nuit. Au-dessous, dans une clairière nichée dans la foret, ils aperçurent des huttes de torchis blotties les unes contre les autres, comme pour se réchauffer. S'échappant par les trouées des toits de chaume, des colonnes de fumée montaient vers le ciel et une douce lumière émanait des interstices de leurs fenêtres et de leurs portes mal ajustées. Les chèvres se mirent à bêler, tirant sur les cordes, et les porcs grogniérent l'échine hérissée. Ils avaient senti le danger et ils avaient peur. Un bébé se mit à pleurer.
Les nuages se déchirèrent et la clarté des deux lunes inonda librement la colline. La lumière malveillante de Morrslieb, le plus malfaisant des corps célestes, alluma une lueur jaune dans les yeux des prédateurs. Ils étaient affamés; au fumet de leur proies, ils firent claquer leurs puissantes mâchoires.
D'un jappement, le chef ordonna à sa meute de le suivre. La queue relevée, les oreilles couchées, il s'élança à grandes foulées vers le village transi de peur. Le sang courait vivement dans ses veines, la sueur qui baignait ses flancs le nimbait d'une brume grise dans le rayonnement des lunes et des fils de bave écumant s'envolaient de sa gueule ouverte. Ses frères se mirent à japper et à claquer des mâchoires car l'odeur de la chaire fraiche emplissait leurs narines. Ils accélèrent encore l'allure pour contourner une coupe de bois et l’atmosphère s'emplit du tambourinage étouffé de leur galop. Le village était là, nu, sans aucunes défenses. Pourtant les envahisseurs s’arrêtèrent net dans leur course.
Au milieu du chemin forestier, un homme leur faisait face. Il était grand, plus grand que la plupart de ceux de son espèce, et large d'épaules. Il tenait un marteau de guerre à long manche et portait une cape en peau de loup. Son armure était de bronze martelé et sa chevelure était longue et embroussaillée. Il semblait aussi solide qu'une montagne, inébranlable, sans âge, à l'égale de la terre, et d'une force bien supérieure à celle de n'importe quel être de chair. Son visage était dissimulé par un heaume de fer à face de sanglier, mais ses yeux luisaient dans l'obscurité, derrière la fente de sa visière.
Le grand loup se mit à trotter nerveusement, d'un coté et de l'autre, humant l'air et grognant. Il jappa et détourna la tête d'un air dépité. Derrière lui, ses congénères poussèrent des gémissements et s'enfuient dans la nuit. Le chef de meute recula et, avec un dernier regard en arrière, fit volte-face et détala à leur suite.
Un vent frais, léger, agita le feuilles qui soupirèrent comme de soulagement. Dans le village, les paysans s'endormirent, les animaux se calmèrent et le bébé cessa de pleurer.
Le guerrier monta à grand pas jusqu'au sommet de la colline et sous son regard qui parcourait le paysage environnant, le silence tomba doucement sur les terres des hommes. Cette nuit-là, elles pouvaient dormire tranquilles puisque Sigmar était là pour veiller sur elles."
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jeannot

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MessageSujet: Re: Petites histoires et autres joyeusetés    Petites histoires et autres joyeusetés  Icon_minitimeMer 19 Juin - 22:22

Des Espoirs déçus : La fondation & le premier Millénaire :


Personne ne sait précisément quand l'humanité est entrée dans le vieux monde pour la première fois. Toutefois, d'antiques recueils nains mentionnent un afflux régulier de populations humaines traversant les Montagnes du Bord du Monde sur une période de plusieurs siècles, repoussées par d'autres tribus humaines plus puissantes ou encore fuyant devant les hordes de peaux vertes. La première mention connue de ces tribus humaines itinérantes apparait dans les Chroniques de Nurn Brisepavois, roi de Karaz-a-Karak. Les feuilles d'or de cet opuscule, gravées des anciennes runes naines qu'aucun étranger n'est autorisé à voir, évoquent une tribu humaine pastorale qui vénérait la terre elle même. Persécutés dans leurs territoires d'origine, ils se montrèrent craintifs face aux nains guerriers : ils disparurent dans les forets de ce qui deviendrait plus tard l'Empire et on n'en entendit plus parler. Les érudits nains qui se sont penchés sur l'histoire primitive situent cet événement aux environs de 1500 ans avant le couronnement de Sigmar. Quelques cinq cent ans plus tard, des inscriptions en Khazalid gravées sur les parois du col du Feu Noir indiquent le passage d'une importante confédération de tribus remontées des terres qui deviendraient plus tard les Principautés Frontalières et les steppes au delà du Bord du Monde. Des sagas historiques naines de cette époque mentionnent également cette migration : "Un grand danger se leva dans l'est, dedans les terres de nos ennemis, et vers l'ouest escampèrent les clans des malingres humains. Ignorants des arts de la guerre et du feu, ils n'avaient d'armes à opposer aux gobelins et non plus qu'à leurs pairs. Ils nous donnèrent l'or, le bétail, et le sel, et nous les laissâmes passer sous le rempart de nos boucliers". Les érudits ont remarqué que nombre de tribus citées dans ces documents portent des noms très proches de ceux des tribus fondatrices de l'Empire : Hunberokin, Tutoknin, Mérokin et Jutonik entres autres...
A la différence des paisibles tribus d'agriculteurs arrivées dans le Vieux Monde avant eux, les nouveaux venus étaient agressifs et leur culture était basée sur le pillage mutuel des femmes et du bétail. Ils ne pouvaient résister face aux peaux vertes et à leurs armes de fer, mais leurs lames et lurs chariots de bronze faisaient largement le poids contre l'obsidienne et le silex des tribus existantes. En moins d'un siècle, les ancêtres des Teutogens, des Unberogens, et des autres tribus fondatrices avaient chassé les plus anciens peuples et s'étaient approprié les meilleures terres.


Au cours des siècles suivants, les tribus commerçaient ensemble puis se faisaient la guerre tour à tour, s'unissant lorsqu'une menace extérieure se manifestait, puis recommençant à se quereller et à s'attaquer mutuellement dès que la menace était écartée. Le rempart formé par les forteresses des nains leur procurait une certaine protection, mais à mesure que la puissance de celles-ci déclinait, de plus en plus de bande de pillards gobelins et orques réussissaient à traverser les montagnes. Ceux ci établirent leurs repaires très loin aux tréfonds des forets ou au cœur des collines sauvages et s’attaquèrent aux tribus du voisinage. D'autres choses plus terribles encore trouvèrent elles aussi le moyen de franchir les montagnes : des guerriers du chaos en quête de gloire pour leurs dieux infâmes et des créatures mutantes en quête de nourriture.
Ces menaces de plus en plus présente entrainèrent l'apparition des toutes premières villes pré-impériales. Dans l'ouest, les Unberogens fondèrent un village fortifié au confluent du Reik et de la Talabec et lui donnèrent le nom de Reikdorf. Dans le sud, des marchands tiléens venus de Miragliano installèrent un comptoir forteresse sur les vestiges d'un ancien village haut elfe, qui devint rapidement un point de ralliement pour les tribus locales lors des périodes de troubles. Celui-ci grandit au fil du temps pour devenir la cité de NULN.
Dans le Nord, les Teutogens cherchèrent longtemps un endroit sûr ou s'établir, jusqu'à ce qu'une vision envoyée par leur dieu tutélaire, Ulric, Seigneur des loups et de l'hiver, les mène à une montagne au sommet plat qui s'élevait comme une ile fortifiée au milieu de la foret environnante. La, ils édifièrent leur principale colonie, Middenheim, et ils nommèrent la montagne Fauschlag, mais elle st mieux connue de nos jours sous le nom d'Ulricsberg. De la même façon, d'autres tribus construisirent des villages fortifiés pour se protéger, tels que Carroburg, fondée par les Mérogens qui deviendront plus tard les maitres du DrakWald.
La vie continua ainsi pendant près d'un millénaire, jusqu'à l’avènement de Sigmar et la crise déclenchée par la Grande Invasion Orque...


La Naissance d'un empire :


Les Origines de Sigmar sont entourées de légendes et de mythes, ce qui n'est pas surprenant lorsqu'il est question d'un homme qui fonda un empire avant d'être déifié. Les tenants du culte insistent sur le fait que toutes ces histoires sont fidèles à la réalité et font partie du dogme officiel, même lorsqu'elles sont contradictoires.
Les érudits s'accordent à dire que Sigmar naquit au sein d'une famille des clans Unberogens du Nord, probablement à Reikdorf. C'était une époque dangereuse, agitée de fréquents conflits contre les Mérogens et les Teutogens, tout autant que par les menaces continuelles des peaux vertes. Les légendes du culte affirment qu'une comète dotée de deux queues traversa le ciel la nuit de sa naissance, en signe de la bénédiction des dieux. Le jeune Sigmar grandit pour devenir un puissant guerrier, même dans sa prime jeunesse, et ses parents et amis s'émerveillent devant sa férocité et ses prouesses.
Au cours de son quinzième été, Sigmar se trouvait seul dans les bois quelque part au sud de Reikdorf (la situation exacte de l'endroit a été perdue, mais certains pensent que cela se trouvait près de Kemperbad) lorsqu'il entendit une bande d'orques piétiner lourdement au travers des broussailles. Ces orques, menés par le chef de guerre orque noir Vagraz Fend-la-Hure avaient tendu une embuscade aux nains d'un convoi de marchandises en provenance de Karaz-a-Karak et retournaient à leur camp avec leur butin et leurs prisonniers. Sigmar les arrêta et les massacra jusqu'au dernier dans un combat épique qui fit résonner les frondaisons de la forêt.


Après le combat, lorsqu'il reprit enfin son souffle, Sigmar apprit qu'il venait de sauver la vie de Kurgan Barbe de Fer, roi de Karaz-a-Karak, qui avait été capturé par Vagraz Fend-la-Hure avec plusieurs membres de sa parentèle. Plein de reconnaissance, le nain récompensa le guerrier unberogen en lui offrant un étonnant artefact : le marteau de guerre Ghal Maraz, dont le nom signifie "Briseur de Crânes" en langue naine. Les deux guerriers devinrent des amis intimes et les nains combattirent souvent côte à côte avec les humains contre la marée montante des orques et des gobelins.
Lorsqu’il ne combattait pas les peaux vertes, Sigmar s'affairait à bâtir son empire, car il pressentait que l'humanité ne survivrait qu'à la seule condition de parvenir à s'unir contre les nombreux dangers qui la guettaient. Par un mélange de ruse, de diplomatie, de corruption et de guerre ouverte, il attira les diverses tribus au sein de sa confédération, dont il assuma le rôle de chef incontesté. Les Teutogens ne se soumirent que lorsqu'il tua leur chef Artur en combat singulier dans la salle de trône de ce dernier.
Le moment de vérité arriva lorsque les nains firent parvenir un message au camp de Sigmar, près de Nuln, pour l'informer qu'une immense armée d'orques, la plus puissante qu'on ait vue depuis des siècles, tentait de forcer le passage au col du Feu Noir. les nains avaient de grandes difficultés à le défendre et le roi Kurgan l'appela en invoquant leur ancienne amitié "car si nous échouons en cette heure, nos deux peuples sont perdus".


Sigmar ne perdit pas une seconde. Selon la légende, il convoqua les tribus à une grande assemblée dans les territoires des Brigondiens de l'est et il leur exposa son cas. Il énuméra les outrages que leurs avaient fait subir les peaux vertes : les femmes brulées et les familles assassinées, le bétail volé et les puits empoisonnés. Il leur dépeignit le danger qui prenait forme dans les montagnes. Il leur décrivit la gigantesque horde d'orques contre laquelle les nains étaient entrain de lutter désespérément. Sigmar implora les tribus rassemblées de ne pas aller à la rencontre des orques et des gobelins comme elles l'avaient toujours fait dans le passé, désunies, refusant de se prêter assistance et de combiner leurs forces lorsque le besoin s'en faisait sentir car cela ne pourrait mener qu'à leur défaite. Sa voix s'élevant avec une rage qui vibra dans le cœur de chacun des membres de l'assemblée, il appela les tribus à s'unir et à combattre aux côtés des nains et leur déclara que ceci serait le creuset d’où sortirait une nouvelle nation. Ainsi que cela est consigné dans Les Chroniques des Origines, le cri de Sigmar "A LA GUERRE" qui termina son discours fut suivi d'une telle ovation que les nains eux mêmes l'entendirent du haut du col du Feu Noir.


L'histoire raconte que l'armée de Sigmar arriva à point nommé, au moment même ou les orques venaient enfin d'ouvrir une brèche dans la muraille que le roi Kurgan avait fait construire en travers du col. Menant la charge sur le chariot du Siggurd, le chef des Brigondiens, Sigmar fondit sur les peaux vertes comme s'il était Ulric en personne. La puissance de l'assaut des humains stoppa net la progression des orques et des gobelins., puis commença à les faire reculer. Les nains virent tourner leur chance et ils chargèrent depuis leurs fortins et leurs tours pour abattre sur les flancs de l'ennemi.
Saisis de terreur, les peaux vertes commencèrent à se disperser et à fuir. Leur chef, un orque déjà âgé mais très puissant, connu sous le sobriquet de RageSang essaya de rassembler ses troupes et de retourner à l'attaque. Chargeant à la tête de sa bande de guerriers, il se retrouva face à face avec Sigmar.
Tandis que Siggurs et ses guerriers d'élite se battaient contre les gardes de RageSang, Sigmar et le Seigneur de guerre orque engagèrent un combat singulier. Le marteau et le grand couperet s'entrechoquèrent tandis que leurs deux propriétaires luttaient pour obtenir l'avantage. Finalement ce fut Sigmar qui abatis le chef orque d'un coup double magistral, brisant d'abord la main qui tenait le couperet puis enfonçant le crane de RageSang d'un revers.


La mort de leur chef déclencha la déroute de l'armée des orques qui, prise de panique, s'enfuit dans une grande débandade. Le massacre qui s'ensuivit fut terrifiant à contempler tandis que les hommes et les nains se jetaient sur leurs ennemis jurés. On raconte que jamais dans le monde on ne vit un afflux de corbeaux aussi considérable que celui qui se rassembla pour festoyer sur les dépouilles des peaux vertes restées sur le champs de bataille. Il mourut tant d'orques et de gobelins ce jour là qu'il leur fallut plus de mille ans avant d'être de nouveau capables de lever une telle armée.
Après cette bataille, les humains retournèrent vers leurs terres mais pas vers leurs anciennes coutumes. Tous les chefs tribaux reconnurent qu'ils étaient plus en sécurité unis que divisés et ils comprirent aussi qui était le seul homme capable de réaliser dette unité. C'est ainsi qu'à Reikdorf, un après la bataille du col du Feu Noir, l'Ar-Ulric placa sur la tête de Sigmar une couronne d'or et d'ivoire, un cadeau des nains, et le proclama Empereur devant une assemblée composée de tous les représentants des tribus. Devant lui, tous les chefs tribaux vinrent tour à tour s'agenouiller pour se promettre mutuellement une assistance fraternelle et jurer allégeance à l'Empereur Sigmar et à l'Empire qui venait de naitre.


La Fondation d'un empire:


En dépit de tous ses discours destinés à inciter la population à vivre dans l'unité, Sigmar connaissait bien les hommes et savait qu'ils étaient trop attachés à leurs anciennes tribus pour que ces liens disparaissent du jour au lendemain. Il était également conscient que les terres de l'Empire, qui s'étendaient des montagnes grises à la chaine du Bord du Monde et de la mer des Griffes aux Voutes, étaient trop vastes pour être gouvernées de façon centralisée. Il s'adapta donc à la situation et donne le titre de Comte de l'Empire à chacun des chefs des douze grandes tribus. Chacun d'eux reçut la souveraineté sur son territoire, avec la seule obligation de se soumettre aux lois et aux édits promulgués par l'Empereur pour l'Empire dans son ensemble. Ces territoires tribaux sont les douze provinces originelles de l'Empire.


Le règne de Sigmar fut une période de paix et de développement intérieur pour l'Empire. Sigmar ordonna la construction de deux grandes routes. La première entre Altdorf et Middenheim et la seconde entre Altdorf et Nuln en longeant les berges du Reik et, à partir de la, rejoignant l'ancienne route des Nains, en Averland. L'Empereur espérait que ces routes, tout comme les rivières, serviraient de liens entre les tribus et les inciteraient à nouer des relations, ce qui atténuerait leur tendance à se fuir les unes et les autres.


Grâce à la paix et à la clémence du climat, les récoltes étaient bonnes et régulières, ce qui, au fil du temps, se traduisit par une vigoureuse augmentation de la population. Les nouveaux citoyens impériaux défrichèrent leurs territoires et fondèrent de nouvelles villes et cités, parfois sur les vestiges de leurs anciens camps fortifiés, parfois sur des terres vierges. Les Taléutes découvrirent un immense cratère au beau milieu de la Grande Foret, à l'intérieur duquel ils édifièrent leur capitale, Talabheim. Les Brigondiens fondèrent Averheim et Streissen, qui n'étaient au départ que des comptoirs commerciaux fortifiés, puis les comtes d'Averland choisirent Averheim pour y bâtir leur grande forteresse qui n'est encore jamais tombée ! Middenheim devint la capitale religieuse de l'Empire, ce qui fit sa fortune car, comme Ulric était le dieu le plus honoré par Sigmar, de nombreuses personnes cherchaient à s'attirer ses faveurs en portant leurs oboles à son temple principal.

A la faveur de la paix, Nuln prospéra dans le sud grace à l'intensification des échanges commerciaux sur les rivières qui la reliaient aux forteresses naines. La cité devint si puissante et si riche, comparée au reste de la province (alors appelée Uissenctland) que les comtes de Wissenland y déplacèrent le siège de leur gouvernement qui se trouvait alors à Pfeildorf..
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jeannot

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MessageSujet: Re: Petites histoires et autres joyeusetés    Petites histoires et autres joyeusetés  Icon_minitimeMer 19 Juin - 22:34

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